Dans la forêt ♪

J'étais arrivé, silencieuse, mes paupière étaient fermé, le vent était lui doux et frais, il faisait une mélodie, belle et apaisante avec les pins et les quelque sapins qui était encore remplis de neige, la neige tombait des arbres, et le bois s'éclaircit un peu plus. Il y avait quelque buttes d'herbes, je sentais les pins qui eux ne perdaient jamais leurs "épines" ainsi que les sapins, mes pas était eux peu bruyant, car on entendait les faibles grincements sous mon poids, je ne ressentait plus rien, ni le froid, ni le chaud, juste la douceur que m'envoyait le vent en pleine figure. La vie c'est comme une étoile dans un univers, l'une s'éteint et l'autre s'allume, je soupirais, ça faisait un peu de buée quand je le faisais, je m'ennuyais un peu, cela faisait un bout de temps que j'étais seul, je soupirais encore, j'avais faim, puis le froid venais s'incruster sous mon pelage, j'avais également froid, je ne pouvais plus bouger, je tombais par terre, puis j'étais allongé sous un arbre, je ne pouvais pas dire qu'es que c'était, car je m'endormis aussitôt, la neige qui était sur l'arbre est tombé sur moi. J'allais mourir ? aucune idée, tout ce que je savais c'était que je n'arrivais pas à me réveiller et à me lever...

Je marchais difficilement ... Mes pattes s'écroulèrent sous mon petit corps, me fesant manger du blanc ... Je me relevai, tremblant de froid, marchant, des petits glacons se forment rapidement sur mon fin pelage ... J'avais froid ... J'avais faim ... Mais je marchais, marchais, seul depuis plusieurs heures ... J'avais froid et du haut de mes 40 cms, la moindre chute de neige m'enterrerais vivant sans que j'ai la moindre chance de m'en échapper ...
J'entendis un grand bruit de fond, pas très loin derrière moi. Curieux, je fis demi-tour, et bravant le vent, je m'avancais en direction d'un arbre ayant fait tomber toute sa couche neigeuse sur quelque chose ... Prenant mon courage à deux mains, le petit louveteau que je suis commencais à creuser, creuser jusqu'à ce que mes jeunes griffes s'usent, creuser jusqu'à ce que mes pattes saignent, creuser jusqu'à ce que je ne puisse plus bouger ...
Soudain, une grosse patte apparue, enfouie dans la neige. A mes risques et périls, sachant que j'était en terre ennemie, je continuai à creuser dans la douleur, épuisé, jusqu'à détérer entièrement un loup.
Je le réveillai et pris vite de la distance, tête basse, signe de soumission.

"Euh ... Tu ... Vous allez bien ..?"

Je reculais encore, gardant les yeux fixés sur le sol, n'osant pas regarder la victime de la chute de neige ...

Je me levais faiblement, puis je secouais tout mon poils roux blanc, ma chevelure et mes ailes grise charbon, toute la neige qui était sur moi tombait à terre, j'avais un mal de crâne pas possible, je me suis frotter la tête avec ma patte avant. Je regarda le petit loup, je fis un saut en arrière, puis je me suis mis à la défensive, et je grognais, qui était-ce ? en tout cas, il m'avait sauvé, donc je me suis calmé et je me suis rapproché du jeune loup, il était noir, ses yeux était très jolie, des beau yeux, on les voyait bien surtout que son pelage était noir.

-Hum...oui, bien...Merci...

Je ne savais pas de qu'elle clan il venait mais, vu comment il était poli et bien il devait être des Light, nos ennemis en tout cas je lui doit la vie, enfin je doit la vie à plein de Light, mais lui était particulièrement jeune, donc autant pas le bouffé maintenant. Enfin et si il venait des Fast Death ? peut-être, mais il serait plus agressif.

La neige recommencais à tomber, et le froid me frappa à nouveau. Je relevai doucement les yeux vers la belle louve rousse et la regardais à présent avec des yeux suppliants, puis, gêner, je les rebaissais intentanément ... J'avais peur ... J'avais faim et surtout ... J'avais froid. Je m'écroulais, tremblant ... Je n'arrivais plus à bouger, mon fin poil ne me réchauffant absolument pas ... Je réussi à articuler quelques mots :

"... J'...ai ...... fr...oid..."

Je sombrais petit à petit dans l'obscurité, mon regard devint vie, demandant de l'aide à la louve devant moi ...
Soudain le souvenir de cet instant ressurgit en moins, me faisant gémir ... Je revis ma mère, ma soeur, mon père ... Papa ... Je gémis encore un moment avant de me réveiller ...

Je regardais le petit, il me suppliait, cela se lisait dans ses yeux, mais il me suppliait de faire quoi ? Moi j'en sais rien. Il les baissa subitement , hein ? Puis il est tombé, la neige s'affolait, il tremblait, il avait froid ?

"... J'...ai ...... fr...oid..."

Il avait donc froid, il n'allait pas vivre longtemps si je ne l'aidais pas, bon, ok je l'aide, mais c'est la dernière fois que j'aide un Light, il sombrait dans le sommeil, il ne faut pas qu'il s'endorme...il ferma les yeux, puis les réouvrit...

-"Ne t'endors surtout pas, il ne faut pas. "

je le pris par la peau du cou, je le trainais par terre, il était trop lourd pour moi, je l'entrainas sous un gros chêne, j'enlevais la neige pour faire place à l'herbe, je le mis là ou y avais de l'herbe, puis je suis partis chercher de la mousse, j'en posais sur lui.

-" tu as faim ? -"

J'étais plutôt douce, ma voie, elle était rassurante. Je me suis mis à côté de lui et mis mon aile sur lui, il va se réchauffer, il a intérêt, sinon il va se pointer devant la mort.

Je fermai les yeux, essayant de marcher, mais les pattes ne semblaient pas vouloir bouger ... Pas la moindre griffe, pas la moindre patte ... J'ouvris la bouche, mais rien n'en sortit ... J'avais froid ... Je me fis trainer ... Mes pattes ensanglantées après avoir creuser me faisaient gémir ...
Une fois dans l'herbe, je fermai les yeux ... Je ne sentais plus le froid, le chaud, la douleur ... Je ne sentais plus mon petit corps mais ... J'étais bien ... Je failli m'endormir, mais la louve me placa de la mousse sur le dos et placa son aile autour de moi.

"P ... Pour...quoi ... Fait ... Tu sa ?"

Je la regardais tant bien que mal, mes paupières étaient lourdes ... Lourdes ... Lourdes ... Je luttais pour pouvoir la regarder encore un instant, me blottisant un peu plus contre elle.

"M ... Merci ..."

Je placai ma petite tête sur sa poitrine et m'endormit au rythme de la musique de son coeur ... Boum. Boum ... Boum ..... Boum .....

[Je serais abs toute la semaine a partir de 11h30, vive les vaccances sans intenet ... ._.]

[ Oké ]

P ... Pour...quoi ... Fait ... Tu sa ?

Je le regardais, hein ? faut qu'il arrête de bafouillé, il devait avoir chaud; enfin bref, je lui répond ou pas, je pense qu'il n'a pas besoin de réponse se serait inutile.

"M ... Merci ..."

Pourquoi il me remerciait ? j'ai rien fais de spécial, mais je le dis ou plutôt pense une dernière fois, c'est la dernière fois que j'aide un Light, parce qu'après ils sont toujours collé à vous. Je regarda le mioche s'endormir; il plaqua ça petite tête sur ma poitrine, heum...qu'es qu'il fou là ? O.O gnnn', je ne suis pourtant pas très confortable, enfin peut-être que pour les p'tits si, enfin bon peut importe, avait t'il chaud ? Mais il n'avait toujours pas répondu à ma question, cela m'est égale, je voulais pas être un cousin moi...

Elle semblait contrariée. Je retirais donc tant bien que mal ma petite tête pour la posée sur ma patte. Je m'endormis ainsi, dans le froid, avec cette louve, si gentille, si chaude qui prenait soin de moi. Je m'en voulut. Je m'en voulut d'avoir froid ! Saleté de louveteau de malheur, pensais-je à ce moment là.

*T'en as pas marre d'embêter les autres, Bêta !? Tu vois pas que tu gênes ?*

Ma machoire claqua d'un coup sec dans le vide. J'aurais voulus me mordre. Me saigner si fort que je me briserai la patte.

*T'es qu'un mioche ! Tu sais pas te débrouiller tout seul ! Rentre chez ta mère mauviette !*

Mon fort interieure me faisais mal. Très mal. Je souffrais en silence, les paupières closent, espèrant que tout se finissent vite.

*Tu vois pas qu'elle t'aime pas ? Elle t'aime pas c'est ton ennemie ! Mais t'ai tellement faible que tu lui fais pitier et qu'elle s'occupe de toi. Regarde Papa, Maman, Soeurette !*

Ces mots me firent trembler. Que sa faisait mal !

*Ils sont morts par ta faute !! Parceque tu leur mangeais trop de nourriture ! Tu n'aurais pas exister, ils auraient pus fuir beaucoup plus vite !*

Je ravalais mes larmes, écoutant tout de même ma concsience, sombrant dans le sommeil, et le cauchemar.